Dans de nombreux inalipa, les jeunes âgées de 15 à 24 ans présentent des taux d'abandon de la contraception plus élevés que les femmes plus âgées. Afin d'en discuter les husababisha et d'identifier des solutions au niveau politique, PACE a organisé, le 26 mai, un mazungumzo politique virtuel de deux heures sur l'abandon de la contraception chez les jeunes en Afrique de l'Ouest, kwa kushirikiana avec le Réseau des Femmes Sénégalaises pour la Promotion de la Planification Familiale na Maarifa MAFANIKIO. L'événement visait à renforcer l'engagement des décideurs politiques régionaux pour traiter les obstacles à l'utilisation durable de la contraception chez les jeunes et à créer des opportunités de opportunités de opportunités de entre entre entrepreprés
Ce dialogue politique innovant a permis de tirer trois grandes leçons sur l'engagement significatif des jeunes dans les politiques et les programs de planification familiale :
Fatou Diop (Alliance nationale des jeunes pour la santé de la reproduction et la planification familiale – Sénégal) na Rachid Awal (Mtandao wa Vijana na Vijana wa Kiafrika – Niger) – mwakilishi wa mashirika ya jeunes – ont présenté des résultats de lab’s uzazi wa mpango par les jeunes, en s'appuyant sur une note de politique kutoka kwa PACE. Ils ont souligné, entre autres, que les jeunes peuvent être particulièrement sensibles aux effets secondaires et qu'ils sont confrontés des des obstacles importants, tels que les préjugés des prestataires, pour les préjugés des prestataires, pour les prestairs de qualifications, pour les des prestataires de qualification. Ils ont exposé sept recommandations politiques pour surmonter ces vikwazo, telles qu'un counseling de qualité incluant des mecanismes de suivi actif entre les rendez-vous et l'accès effectif à la gamme complète des methodes contraceptives.
Hervé Bassinga (Institut supérieur des sciences de la population), a présenté les resultats d'une analyze par les étudiants du premier program de communication pour les politiques de PACE jw.org sw Afrique de l'Ouest, sur l'ouverture des contextes et des programmes nationalaux pour l'utilisation durable de la contraception chez les jeunes au Bénin, au Burkina Faso, en Guinée, au Mali et au Togo. Sa présentation a montré que plusieurs bonnes pratiques de soutien à l'utilisation durable de la contraceptive chez les jeunes ne sont actuellement pas reflétées dans les politiques des pays et qu'une attention accrue est contraceptive, au conceptive, au contraceptive accrue est contraception. Kwa mfano, quatre de ces cinq pays n'ont ni loi ou politique favorisant l'accès des jeunes aux soins de planification familiale sans le consentement des deux parents ou du conjoint.
Au cours d'une table ronde animée par les jeunes leaders, plusieurs décideurs politiques de haut niveau, dont l'Honorable Assoupi Amèle Adjeh, parlementaire togolaise, le Dr Siré Camara, fonctionnaire du Ministèry de Guinéu Touréu Conétaeak hakimu burkinabè, et Angelo Évariste Ahouandjinou, maire de la plus grande commune du Bénin, ont approuvé les recommandations de la note de politique. Ils ont insisté sur l'importance d'impliquer les jeunes dans les discussions, depuis le niveau communautaire jusqu'au niveau niveau kitaifa, sur la manière de soutenir la poursuite de la contraception chez les jeunes. Fatou Diop a insisté sur le fait que les jeunes ne doivent pas être vus comme de simples bénéficiaires de services à informer, mais être considérés comme des égaux ayant des idées novatrices sur la manière considérés comme des égaux ayant des idées novatrices sur la manière considérés comme des égaux ayant des idées novatrices sur la manière conceptive continuation.
Fatimata Sanou Toure et l'Honorable Assoupi Amèle Adjeh ont établi le lien entre laabandon de la contraception chez les jeunes et la question des grossesses non désirées chez les jeunes scolarisées. Le Dr Siré Camara a indiqué qu'en Guinée, les infirmeries des écoles et des universités sont en mesure d'offrir des services de planification familiale.
Fatimata Sanou Touré et le Dr Siré Camara ont également souligné que, même lorsque de bonnes politiques sont en place, leur mise en œuvre demeure problématique. Kwa mfano, alors que les contraceptifs sont gratuits dans le secteur public dans de nombreux pays, les jeunes préfèrent souvent se les procurer dans le secteur privé. L'Honorable Assoupi Amèle Adjeh a suggéré que les prestataires refusant de fournir des services aux jeunes devraient en supporter les conéquences juridiques. Angelo Évariste Ahouandjinou a également indiqué qu'une ligne budgétaire pour les contraceptifs existe dans sa municipalité et que des informations sur la planification familiale sont disponibles pour les jeunes.
Nikiwa na réuni pamoja na washiriki 85, dont plusieurs journalists ouest-africains. PACE soutient la participation d'organisation de jeunes pour traduire les recommandations en action politiques: une table ronde sur l'utilisation des données mettra en relation les jeunes leaders et des jeunes chercheurs formé en communication pour les politiques; une formation sur mesure sera mise en œuvre pour renforcer les capacités de communication stratégique des organizations de jeunes afin de soutenir leur implication croissante pour une redevabilité quant à la mise en œuvre des engagements politiques pays respect ifs leur politiques. PACE s'efforce également de mettre en relation les journalists, les décideurs et les jeunes leaders présents au webinire, afin de promouvoir des reportages de qualité sur l'utilisation durable de la contraception.
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